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 Jeune Donjon Mystère: Équipe de Secours Réel

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The Badger's Your Friend
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Masculin
Nombre de messages : 1
Age : 42
Localisation (vrai localisation) : California, États-Unis
Emploi : Un libaire pas loin d'où je vis
Loisirs : Le langue Française(que j'ai pris dans une classe) et la musique Japonaise.
Date d'inscription : 12/11/2009

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MessageSujet: Jeune Donjon Mystère: Équipe de Secours Réel   Jeune Donjon Mystère: Équipe de Secours Réel Icon_minitime12/11/2009, 9:08 am

Traduit par l'auteur.
Jeune Donjon Mystère est le quatrième fanfic que j'ai fait,
mais c'est le premier fanfic que j'ai traduit de l'Anglais original en le
Français. Si j'ai fait des erreurs, laissez-moi savoir et je vais les corriger,
vous serez crédité pour aider avec le traduction.

Chapitre 1

Magnéti s’est reveille lentement un jour. Il avait un rêve très étrange la nuit dernière. Il était dans un brouillard très dense. Il pouvait voir quelqu’un, mais pas trop bien. Il pouvait l’entendre, mais il ne l’a pas compris, parce que son voix était très sourd. Il ne pouvait pas voir si la personne était un homme ou une femme. Son voix apparaissait d’être celui d’une femme, le personne a porté des vêtements verts et blancs. Il y avait quelque chose en rouge sur sa poitrine. Ses cheveux étaient longs et verts, ses yeux étaient bruns, et il paraissait que le personne a dit son nom. Il avait ce rêve tout le temps, alors, il ne l’a pas trop trouvé. Il a levé ses bras, il a frappé sa tête sur un étagière basse, et il a vu que quelque chose avait beaucoup de tort. «Tiens... j’ai des bras!? Et une tête!?» Il a regardé son corps beaucoup de temps. Il a cherché un objet brillante qui pourrait le reflechir. Mais finalement, il fallait admettre, Magnéti est devenu un garcon, ou, plus exactement, un adolescent. La poussière l’a couvert complètement, et ses cheveux noirs étaient en désordre complete. Ses vêtements était presque détruits, sa chemise avait des fissures sur tout son dessin, et son blue-jean avait un trou au genou assez grand pour mettre un bras dedans. Une seule chose n’apparaissait pas trop ruinée—son chapeau. Mais cette chapeau était aussi sale que tous ses vêtements.

«Maman, y a un clochard dans la ruelle encore.» un enfant a dit, pas loin d’où Magnéti était.

«Ne lui regarde pas, fils, il voudra nous parler.» sa mère a répondu.

«Hé,» Magnéti a demandé, «Vous connaissez oú je suis?»

La femme a pris son fils et a couru. À Magnéti, ça ne
faisait pas de sens. Personne n’était si hostile à la Place Pokémon. Magnéti a posé toute le monde le question d’où il était, et tout le monde a répondu par jurer ou par l’accuser d’être buvant. Ce qu’il était pensé d’être buvant, il ne saurait jamais. Il a continué de poser des questions, et puis, il a abandonné ses efforts et s’est promené dans la ville. Les rues étaient quelque chose á voir, c’était une vue très alarmante. Il y avait des gens portants des lunettes de soleil qui étaient aussi grandes que des plaques d’immatriculation prennants leurs pantalons pour des bracelets de chevilles et portant des bijoux dans les lieux les plus gênants, des voitures avec plus de fumée sortant de leurs vitres que de leurs tuyaux d’échappement sautant comme on les a données le café au lieu du carburant et faisant des bruits assez forts à casser des vitres et declencher des alarmes des voitures d’à côté. Des autre gens sur les rues l’a posé des questions d’une mot des choses les plus étranges.

«Argent?»

«Dons?»

«Marie-jeanne?»

De temps en temps, il a entendu des cries de «LA JUSTICE POUR OSCAR GRANT!!!»1 suivies par des claquements forts. Il ne voulait pas savoir ce qui a fait ces bruits. Alors, il a cherché un bon lieu à s’asseoir. Il a trouvé un petit galerie d’art et il s’est assis sur sa porche, parce qu’il a pensé que personne ne vodrait l’approcher. Il pensait qu’il était sauf à rester ici.

Les heures ont passés, les gens aussi, toutes sortes, vêtu en tous les looks les plus modernes, d’une fille goth qui lui a donné le bras d’honneur2 pour être un poseur, même s’il nétait pas posant pour rien, en des jeunes qui parlaient comme charretier et apportaient des radios qui avaient l’air lourdes. Un bande des adultes portent des vêtements étranges se sont assis, mettant des tambours, des clarinettes, des guitares, et tout qu’ils ont apportés sur la rue et se mettant à jouer de la musique. Le jour a commencé de devenir la nuit, et des autres a suivi cette bande, avec toutes sortes de choses, des machines gigantèsques en ce qu’ils viennent de préparer. Les gens ont couverte la rue, mais les personnes qu’il trouvaient d’être meilleurs étaient la bande qui y est venue le première. Ils jouaient de la musique tribale, la même sorte de la musique qu’il entendait toujours á la Place Pokémon. C’était comme un autre logis pour lui, mais il n’y resterait pas trop long.

Il y avait des adolescents passant près de la rue, se disputant de quelque chose, comme des adolescents font toujours.

«Tu es sûr qu’elle sait où nous allons?»

«Elle sait, n’est-ce pas?»

«If I didn’t know, we’d have never left the house. I know just what I’m doing.»3

«Elle sait ce que nous faisons, ou nous ne serions pas ici.»

Magnéti a regardé les trois adolescents qui ont tourné et ont approché sa porche. Un garcon avec des cheveux blanchis de rouge en blonde, portant un chemise en camouflage et des pantalons gonflés était a côté d’un garçon court avec les cheveux noirs, habillé comme il est venu de l’école. Mais l’adolescent le plus aperçu par Magnéti était la fille qui les a menés.

La première chose que Magnéti a remarquée était le visage de la fille. Elle était au teint pâle, et elle avait des yeux bruns. Ses cheveux verts couvraient ses épaules, et ses franges cachaient ses sourcils. Sa chemise
blanche avait des manches courts et un coeur rouge piqué à la main sur le
devant. Sa jaquette, ses gants et ses chassures étaient la même coleur que ses cheveux, et elle portrait un jean blanc. Elle a ôté sa jacquette et l’a plié sur un bras. Magnéti pouvait voir un autre coeur piqué sur le dos. Peut-il être que c’était le personage de ses rêves?

«C’est ce que nous cherchions?» le gars vêtu comme soldat a demandé.

«Yep. I was looking for this fellow right here.» la fille a répondu. Elle a plié ses genoux et s’est mis à parler à Magnéti. «Your name’s Magnemite,4 right?»

Magnéti ne l’a pas bien compris, mais il était évidente que la fille voulait savoir son nom. «Je suis désolé, mais ce n’est pas moi.»

«So, what’s your name, then?»

L’écolier regardait l’expression dérouté de Magnéti et a attendu un peu avant de traduire. «Elle vient de te demander de la dire son nom.»

«Euh, Je m’appelle... Magnéti...» le gars a répondu.

La fille s’est tournée vers ses amis. «That’s him, allright.» Puis, elle s’est retournée vers Magnéti. «Do you wanna go with us three?»

Le garçon vêtu en camouflage savait le sens de ses mots. “Toi, va avec nous.”

“Ben... merci. Je veux dire, je n’ai pas de lieu à aller, je viens de me réveiller pas longtemps, et crac! Je suis un adolescent dans un mauvais secteur d’une ville pire. Où suis-je, vraiment?”

«LA JUSTICE POUR OSCAR GRANT!!!» *BANG*

«Voici Oakland.» l’écolier a répondu après d’attendre un peu.

«Où sont les chênes?»5

«Ben, il y en a un dans le centre de la ville, mais...»

«Alors, pourquoi est-ce qu’on l’appèlle Oakland?»

«Moi, je l’ai questionné aussi.» le gars aux vêtements de l’armée a dit. «Je peux trouver beaucoup des autres noms, mais ils seraient tout mauvais pour le tourisme.»

«Peut-être que c’est pourquoi.» l’étudiant a dit. «De toute façon,» il a continué. «Nous revenons chez nous. Tu peux nous suivre.»

«D’accord, merci. Je m’enforce de m’adapter, sans beaucoup de sucèsse, et j’ai vraiment besoin d’aide.»

«Don’t thank me,» la fille a répondu. «Just quit staring at me and follow our lead.»

«Elle dit qu’il n’y a pas de quoi, mais elle veut que tu ne le zieutes plus et qu tu nous suives.» l’écolier a traduit.

Le visage de Magnéti a rougi. Il ne savait pas qu’il était lorgnant. Il s’est levé et les a suivis, passant par les picoleurs, les toxicomanes, et les meurtriers armées. La fille qui était le chef de ce bande était très protecteuse, montrant son poing à tout qu’elle croyait d’être une menace. Et ils étaient au ghetto, alors, tout ce qui bougeait et quelques choses qui ne bougeaient pas pouvait les menacer. Finalement, le bande s’est arrêté devant une maison grande. L’étudiant a ouvert la porte, montrant que cette maison était un immeuble. Les quatres sont montés dans trois éscaliers, l’explication, donné par le jeune vêtu comme un soldat, était que l’ascenseur ne venait pas à leur étage. La raison était clair quand le
bande est monté dans le quatrième éscalier, qui n’était qu’une échelle á une
trappe. L’écolier devait donner les clés au gars en camouflage, qui a essayé
dur à ouvrir la porte, fermé à clé par un serrure qu’on a boulonné en place.

«Grr... quelle est le clé!?»

«C’est celui plus long, Serge, souviens-toi de celà.»

«Ah.» Serge a répondu. «Merci, Edd.»

«De rien.» Edd a dit en réponse. En quelques secondes, Serge a ouvert la porte et les quatres sont entrées, Serge le premier, Magnéti le dernier. À cette époque, Magnéti a appris que leur appartement n’était que le grenier d’immeuble. Y avait beaucoup de la poussière, des tuilles en linoléum par-ci, des parties de la moquette per-là, mais à part de ça, l’étage était découverte, rien que le contreplaqué, beaucoup decontreplaqué. Les chevrons n’étaient même pas couvertes. C’était evident que le contractant voulait que cette sale soit un autre appartement, mais il ne l’a jamais fini . Les trois se sont assis au centre d’appartement, et la fille mystérieuse a laissé une place pour Magnéti.

«Ben, voici chez nous.» Serge a dit. «C’est pas trop, mais nous avons ce qu’il nous faut. On a la lumière,» il a dit, signalant une grande vitre, «On a l’électricité,» signalant deux prises électriques, une qui fournissait la puissance à un télé, l’autre fournissant la puissance à une chaudière, «On a l’eau,» signalant un evier. Magnéti pouvait voir les tuyaux qui venaient du chauffe-eau, et aussi les plats et les tasses qui était dans l’evier, «On a une salle de bains,» ici, il a parlé dun lieu couvert par un rideau, «On a quelque lieu à dormir,» signalant quatre cabanes, «Et on a la nourriture.» il a dit, signalant le grand mur des nouilles de ramen6 qui a couvert un grand secteur de l’appartement. «Et nous avons les uns les autres, et ça, en tout réalité, est ce qui nous aide de garder nos santés mentales.»

Le chef de l’équipe a continué avec une réponse obscène. «It may be a misorganized shithole, but it’s our misorganized shithole, and that’s what counts, really.» Edd a choisi de ne pas traduire cette phrase.

«De toute façon,» Serge a continué. «Tout le monde ici utilise des surnoms. Appelez-moi Serge. J’suis le membre le plus fort. C’est Edd,” il a dit. Edd a levé sa main. “Il est le plus intélligent, et il parle Anglais. Plus d’anglais que moi, et ça, c’est bon car notre caïd ne parle pas Français. Elle comprend cette langue, mais elle ne peut pas la parler. J’ai essayé d’étudier avec elle pour un peu, mais je n’ai jamais appris trop.»

«Hi,» la patronne a dit. «My name’s Gardevoir. I’m the leader of this troop.»

Magnéti a été déconcerté. «Tout s’explique...» Gardevoir a choisi de ne pas poser ce qu’il voulait dire jusqu’à cette époque. «Salut,» Il a continue. «Je suis Magnéti. J’étais un pokémon, mais, après d’une série des rêves étranges, je viens de me réveiller ici en tant qu’un adoléscent.»

Serge et Edd ont ri très fortement, mais il paraissait que Gardevoir a compris. «I understand completely. Same thing’s happened to me.»

Edd a parlé, en Anglais pour la cause de la retraite. «Wait up. He’s not crazy?»

«Have a little faith in me, Edd,» Gardevoir a dit, «I’ve been here long enough to tell when somebody’s nuts. You think I’d have even let him in if he was bonkers?»

«Tu as raison.» Edd a dit, parlant Français encore parce qu’il ne fallait plus parler Anglais. «Magnéti,» il a continué, «Ton histoire a été verifié. Nous te croyons.» Magnéti a été soulagé. «Maintenant, il faut que tu te reposes.»

«And you really need to wash.» Gardevoir a dit. «I could smell you from about ten feet off.»

«À la réflexion,” Ed a dit après d’entendre le réponse de Gardevoir. «Il faut que tu te laves. T’es pratiquement couvert de la poussière.”

Edd avait raison. Magnéti était très sale. Il est allée au secteur couvert par le rideau, qui avait une toilette, un evier, et un bain, aussi couvert par un rideau. Il a pris un bain chaud pour l’aider de voir clair. Tout le jour était si embrouillant, il ne pouvait pas fair une réponse. Il pouvait seulement essayer d’en faire abstraction. Il a pris une serviette d’une tas de quatre et s’est seché. Il a secoué tout la poussière de ses vêtements avant de s’habiller et il est allé au lit. Il s’est endormi facilement, il était très épuisé.

Des Notes Du Traducteur
1. Oscar Grant était fusillé le 1 Janvier 2009 par un policier dans le BART, une système de train dans la Californie. Des hommes qui voulaient la justice tuaient des policiers, détruisaient des magasins, et mettaient le feu aux voitures en réponse de son mort.
2. Traduit de “the finger.”
3. En le version Anglais, Gardevoir parlait Français.
4. Le nom Anglais pour Magnéti.
5. Oakland veut dire littéralement «terrain des chênes.»
6. Des nouilles de ramen sont trés bon marchées en Amérique, mais ils ne sont pas très bonnes pour la santée.
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